jeudi 23 octobre 2008

Et à coup sûr, un Belge de trop...

Autre atrocité envers nos animaux (dénoncée dans un article de M. Jean-Pierre Bodart paru dans le Télé Moustique du 15 octobre 2008) :

" Incroyable cruauté"
"Hannut, ville paisible de Belgique. Des champs où l'on plante des fruits... Quels fruits ? Je ne suis pas allé constater sur place.
Un mât au milieu du champ. Clouée à cette tour de l'horreur, une corneille... vivante, vivante.
Un voisin entend ses cris, les cris d'une agonie... Méthode cruelle, insensée. Cette corneille torturée pour écarter ses congénères de ce champ de cocagne pour les oiseaux. (...)
Buvant mon café, mon estomac se tord. Nous vivons en Belgique, pays qui se croit civilisé, qui fête les 60 ans des droits de l'homme, et l'année zéro des droits de l'animal, les amies les bêtes étant considérées comme des objets par notre législation. Nous sommes des milliers de citoyens à exiger de l'Europe la reconnaissance des droits pour les animaux, êtres vivants comme nous.
Mais voilà, les conséquences font peur à tous les sadiques, les hommes bêtes et méchants, aux éleveurs peut-être. L'homme scientifique devra renoncer peut-être à des expériences sur les animaux de laboratoire. L'homme cupide devra peut-être cesser d'organiser des sports absurdes où l'animal souffre, est dopé, est blessé sinon achevé. L'homme devra peut-être renoncer à des actes cruels gratuits pour assouvir ses instincts de psychopathe. L'homme calculateur devra renoncer à ces élevages, véritables stalags pour tirer profit de volatiles renus fous, stressés. (...)
'For animal rights'. La devise de GAIA, une association qui défend parmi tant d'autres les animaux, tous les animaux, pas seulement les animaux de compagnie.
Une corneille empalée vivante au sommet d'un mât, le mât de la honte, le mât de trop".
A titre personnel, j'ajouterai : et à coup sûr, un Belge de trop...

Les "droits de l'homme", fort bien. Et les "droits de l'animal" alors ?

Autre atrocité (dénoncée dans un article de M. Jean-Pierre Bodart paru dans le Télé Moustique du 15 octobre 2008) :
" Incroyable cruauté
Hannut, ville paisible de Belgique. Des champs où l'on plante des fruits... Quels fruits ? Je ne suis pas allé constater sur place.
Un mât au milieu du champ. Clouée à cette tour de l'horreur, une corneille... vivante, vivante.
Un voisin entend ses cris, les cris d'une agonie... Méthode cruelle, insensée. Cette corneille torturée pour écarter ses congénères de ce champ de cocagne pour les oiseaux. (...)
Buvant mon café, mon estomac se tord. Nous vivons en Belgique, pays qui se croit civilisé, qui fête les 60 ans des droits de l'homme, et l'année zéro des droits de l'animal, les amies les bêtes étant considérées comme des objets par notre législation.
Nous sommes des milliers de citoyens à exiger de l'Europe la reconnaissance des droits pour les animaux, êtres vivants comme nous.
Mais voilà, les conséquences font peur à tous les sadiques, les hommes bêtes et méchants, aux éleveurs peut-être. L'homme scientifique devra renoncer peut-être à des expériences sur les animaux de laboratoire. L'homme cupide devra peut-être cesser d'organiser des sports absurdes où l'animal souffre, est dopé, est blessé sinon achevé. L'homme devra peut-être renoncer à des actes cruels gratuits pour assouvir ses instincts de psychopathe. L'homme calculateur devra renoncer à ces élevages, véritables stalags pour tirer profit de volatiles renus fous, stressés. (...)
'For animal rights'. La devise de GAIA, une association qui défend parmi tant d'autres les animaux, tous les animaux, pas seulement les animaux de compagnie.
Une corneille empalée vivante au sommet d'un mât, le mât de la honte, le mât de trop".
A titre personnel, j'ajouterai : et à coup sûr un Belge de trop...